Archives de catégorie : Actualités

Infos diverses

Vendredi 11 février, Florian Galvane se rend à Vichy pour un stage avec l’équipe de France de kickboxing.

Dimanche 13 février, à Voiron, compétition Minimes cadet(te)s de boxe éducative.



Samedi 19 février à Tournon, entrainement de masse tout styles.

Samedi 19 février à Vernaison, Championnat Régional de boxe éducative. 

Tristan Fargier, Perd face à Bardey Yassine.

Rayan Belkebir gagne contre Djebbar Ismaïl

Rayan, Ines, Marie, et Marwan , boxerons pour les  interrégions du 12 mars prochain.

Samedi 26 février matin, séance de test match au club.

Du 4 au 6 mars, à Bondy, Championnat de France de kickboxing pour Florian.

Du 11 au 13 mars en région parisienne, Championnat de France de K1 toujours pour Florian.

le 12 mars, championnat interrégion de boxe éducative Minimes, cadets, garçons et filles.

Florian n’a pas boxé samedi 22 janvier.

Ce samedi, Florian Galvane, s’est déplacé avec son entraîneur et quelques ami(e)s du club, pour le championnat Auvergne Rhône Alpes de K1 qui se déroulait à Tossiat dans l’Ain. Ils étaient trois inscrits. Mais voilà, seul Florian a fait le déplacement. Ces adversaires, sans prévenir personne, ne sont pas venus. Le manque de sérieux de certains clubs déteint sur la fédération tout entière. Notre sport mérite mieux.

Article paru samedi 15 janvier sur le Dauphiné Libéré.

La boxe féminine au Péage-de-Roussillon

Elles ont quatorze et quinze ans et sortent de l’école de boxe de la section péageoise du Full-Contact-Gym-Boxe (FCGB), club viennois qu’on ne présente plus ; elles ont entre trois et six années de pratique et ont connu deux années de Covid, avec confinements, couvre-feu, masques, etc. — deux années sans compétition, quoi. Malgré tout, Aïcha, Inès et Marie ont repris l’entraînement cette saison, bien décidées à continuer leur progression.

En 2020, Aïcha El Harrak et Inès Jaouadi, alors minimes, s’étaient qualifiées pour les championnats de France, avant que la pandémie n’oblige les fédérations à stopper toutes les manifestations ; cette saison s’annonce encore tendue, aucune compétition n’ayant été programmée au premier trimestre. De quoi entamer leur motivation…

Leur entraîneur, Moussa Fella, nous parle d’elles : « Les trois filles ont le niveau national ; elles sont en capacité d’égaler Camille Monnier, qui a été championne de France cadette en 2016.Aïcha El Harrak, c’est un “petit taureau” : elle ne lâche pas ses adversaires, leur met une pression constante. Inès Jaouadi, c’est la technicienne ; elle manque un peu de confiance en elle, mais il lui suffira de reprendre la compétition pour combler ce manque.Marie Guillet, la dernière arrivée, compense son déficit technique par une énergie et une motivation hors normes.Les trois possèdent une super mentalité, elles progressent ensemble, sont dans l’entraide. Je suis pressé de les voir sur un ring, elles vont en surprendre plus d’une. »

Elles ne sont pas les seules à s’entraîner au gymnase Bayard : vous y retrouverez également Yasmine, Nelly et Léha, qui, tous les mardis et jeudis, viennent croiser les gants avec les garçons.

Pour conclure, comme dirait Aïcha quand elle parle du FCGB : « Venez au club, vous n’allez pas le regretter. Et, si vous regrettez, venez me voir, on réglera ça ! »

Omicron, un uppercut pour la boxe

Par Alexandre Terrini Publié le 28.12.2021 sur le site de la FFboxe.

Face à l’ampleur de la nouvelle vague épidémique provoquée par ce variant du Coronavirus, l’Exécutif a pris, le 27 décembre, des mesures restrictives dont certaines concernent, entre autres, le sport et, par récurrence, la boxe. Voici ce qui nous attend.

Un verre encore à moitié plein

Certains verront le verre à moitié vide, d’autres se satisferont qu’il soit encore à moitié plein. De fait, on a échappé au huis clos, que l’on pouvait craindre, et, pire, à l’interdiction de la tenue des compétitions amateurs. On a aussi évité le couvre-feu et son corollaire, l’impossibilité de programmer des épreuves sportives et des entraînements le soir.

2 000 spectateurs maximum et assis

En revanche, les jauges sont bel et bien de retour à compter du lundi 3 janvier et pour une durée de trois semaines. Soit 2 000 spectateurs pour les événements sportifs et culturels qui ont lieu en intérieur et 5000 personnes pour ceux qui se déroulent en extérieur. Une limitation qui concernera une poignée de galas de boxe, à l’image de celui censé se tenir à Bercy, le 15 janvier prochain, avec Tony Yoka comme tête d’affiche…

A noter que les concerts debout sont interdits. Ce qui signifie, en creux, qu’il en va de même pour les manifestations sportives et qu’il faudra être assis pour assister à des combats de boxe.

Le passe vaccinal, la règle

Le passe vaccinal va remplacer le passe sanitaire à compter du 15 janvier si le Parlement entérine, d’ici là, le prochain projet de loi sanitaire. Quèsaco ? Le passe vaccinal signifie que son titulaire doit apporter la preuve qu’il a été l’objet d’un schéma vaccinal complet, soit au minimum deux doses, voire trois selon le délai légal (soit sept mois après la dernière injection ou infection à la Covid pour toutes les personnes âgées de 18 ans et plus). Avec une modulation : les individus contaminés par la Covid-19 devraient, eux aussi, bénéficier de facto du passe vaccinal au bout de onze jours et pendant six mois. En revanche, le passe sanitaire ne sera plus de mise. En clair, exciper un test PCR négatif ne permettra plus d’entrer dans les enceintes concernées.

Le passe vaccinal s’imposera à tous ceux qui franchiront la porte d’un gymnase ou d’un stade. A savoir, les sportifs, amateurs et professionnels, mais également les spectateurs et les membres (dirigeants, encadrants et bénévoles) des clubs de boxe et autres. Dit autrement, quand on a douze ans et plus, il est désormais obligatoire d’être vacciné pour mettre les gants ou entraîner ou, simplement, pour entrer dans une salle de boxe ou s’asseoir en tribune.

Qui va contrôler ?

Autre difficulté logistique à l’horizon : afin de lutter contre les faux passes vaccinaux, Matignon souhaite multiplier les contrôles d’identité por s’assurer que le document produit correspond bien à celui ou à celle qui prétend en être le détenteur. Soit. La question est de savoir qui sera habilité à demander à quelqu’un un justificatif d’identité, sachant qu’il s’agit, à ce jour, d’une compétence exclusive des officiers de police judiciaire. On évoque pêle-mêle, le personnel en charge de la gestion des équipements, un préposé au sein des clubs, le service de sécurité lors des compétitions etc. Surtout, on imagine déjà les confits potentiels lorsque des récalcitrants refuseront de se soumettre à une telle procédure pour accéder au ring.

Quid de la règle 2G+ ?

Enfin, à ce stade, le Gouvernement n’a pas encore précisé un élément loin d’être anecdotique : la règle dite 2G+, qui contraint à présenter un test négatif en sus d’un schéma vaccinal complet, s’appliquera-t-elle ? Et si oui, où et quand ? Un double effet Kisscool qu’il est question d’exiger dans les lieux à risque. Ceux qui accueillent des supporters dans un périmètre fermé sont-ils de ceux-là ? That is the good question.

Interdiction de manger et de boire

Autre point, a annoncé par le Premier ministre, Jean Castex, « la consommation de boissons et d’aliments sera interdite dans tous les cinémas, théâtres, les équipements sportifs et les transports collectifs, y compris longue distance ». Ce qui signifie, de facto, la fin momentanée des buvettes durant les galas de boxe et, donc, une source de recettes en moins pour les organisateurs. Qui n’avaient pas besoin de ça.

Par ailleurs les mesures sanitaires annoncées le 26 novembre 2021 restent d’actualité.